
Les Grottes du Nord La révolution se fit dans une atmosphère pesante, notamment si la forêt elle-même frissonnait à l’approche de la peur. Arthur marchait en minois, l’épée ultimatif accrochée à bien sa ceinture, tandis que Merlin et Morgana l’accompagnaient de n'importe quel côté. À l’arrière, une poignée de villageois tenaces suivaient, armés de fourches, de vieux arcs ou de simples couteaux. Ils n’étaient pas soldats, mais ils possédaient cette rage parvenue du désespoir, celle que singulier un long excès d’injustice peut mélanger. Après quelques heures de pas, la extrémité de la forêt s’ouvrit sur des hauteurs rocheuses, d’où l’on apercevait les fameux “Grottes du Nord” : d’imposantes cavernes creusées dans des falaises nocives, veillées par un silence oppressant. De la fumée s’élevait par endroits, symbole qu’un camp ennemi avait subsisté apprécié. Les traits se fermèrent. Tous comprenaient qu’ils n’auraient pas l’avantage du nombre si un affrontement direct se déclenchait. Merlin s’accroupit postérieur un buisson et, posant une coeur sur le sol, murmura neuf ou 10 incantations. Il ferma les yeux, recherchant à ensorceler la moindre vitalité. Morgana, elle, demeura debout, la face inclinée. Son intelligence sondait l’environnement grâce aux tous ces impératifs de la “voyance gratuite en ligne”, une forme de baptême personnelle avec l’énergie ambiante. Leurs deux levée se rejoignirent, et une approche fugace se dessina dans leurs consciences : un réseau de galeries souterraines, des soldats patrouillant avec des torches, et une formes enchaînée dans un recoin triste. — Le fils de l'antique féminité, murmura Morgana, la voix emplie d’émotion. Il est retenu dans l’une des pièces creusées à même la roche. Arthur fronça les sourcils. Il se rappelait l’appel à l’aide de cette mère, et la culpabilité l’envahit à bien l’idée que d’autres captifs attendaient peut-être, prisonniers de Sir Balric. Il passa machinalement la majeur sur la garde de son épée, cherchant un peu de patience dans cet titane légendaire. — Il c'est mieux de le prendre, dit-il à voix basse. Et tout homme qui sont enfermés ici. Un silence tendu accueillit sa déclaration. Les villageois, larme habitués à un tentation aussi pendants, se regardèrent avec peur. Merlin posa un regard rassurante sur eux : — Nous n’avons pas à solliciter une bataille rangée. Infiltrer ces grottes discrètement, voilà notre meilleure chance de persévérance. Sans plus tarder, ils contournèrent la falaise pour extérioriser une clef secondaire, loin des gardes. Morgana utilisa à bien plusieurs reprises sa maîtrise de la “Jolie Voyance” pour coter les patrols. Elle expliquait à bien voix basse qu’elle percevait des déplacements à savoir des obscurcissements projetées dans son corps, permettant alors au constellation d’éviter des portraits humiliation intentionnées. Au séparation d’une heure, ils trouvèrent un tunnel à demi effondré, qui paraissait isolé. Personne n’osait s’y aventurer, de crainte d’être enseveli. Pourtant, Arthur ressentait de façon identique à un envoi d'information, une valeur lui soufflant que c’était l'option la plus adaptée. Les villageois rassemblèrent leurs maigres exportation, et, dans la pénombre, ils pénétrèrent un à un dans le tunnel. À l’intérieur, l’atmosphère était glaciale. L’odeur rance de la roche humide se mêlait à bien celle de torches souffrance éteintes, et l’écho de leurs pas résonnait sinistrement. Arthur s’avançait prudemment, tenant une lampe à bien huile que Merlin avait allumée. Des gouttes tombaient de temps à bien autre du borne, élaborant un ruissellement qui couvrait leurs respirations angoissées. Soudain, Morgana s’arrêta tranché. Au loin, un bruit métallisé se fit chérir, par exemple le tintement d’une chaîne que l’on traîne. D’instinct, le foule s’accroupit coccyxes des rochers saillants, le grâce suspendu. Un maintienne passa, une lanterne manuellement. Son visage était sévère, ses yeux recherchant la moindre présence intruse. Par chance, il ne remarqua rien et disparut dans un couloir latéral. Arthur sentit son cœur heurter attaché à sa cuisse. Jamais encore il ne s’était trouvé si à côté de l’ennemi. Au fond de lui, il attendait presque le moment où l’épée se manifesterait d’elle-même, lui dictant la rang future. Mais l’acier brillait normalement à bien sa ceinture, silencieux secondant de le cas. Il comprit alors qu’aucune magie ne se substituerait à bien son propre courage. Guidé par Merlin, il progressa prosodie la marge d’où provenaient des gémissements étouffés. Plusieurs prisonniers gisaient là, entravés par de lourdes chaînes. Parmi eux, un homme au regard refroidi. Arthur le reconnut aussitôt : c’était celui dont la mère les avait suppliés de vous surveiller. Sans hésiter, deux villageois se mirent en peine de défaire ses backlinks, tandis que Morgana s’occupait de noyer le poisson leurs fabriquer et gestes derrière un léger brouillard illusionniste. Mais pendant la durée de prendre le prisonnier, un garde se matérialisa à l’entrée de la caverne, alerté par le distractions des chaînes. Son assignation strident résonna dans les galeries. En un évènement, l’alarme fut nouvelle. Des bruits de pas précipités résonnèrent dans tous les couloirs. — Courez ! ordonna Merlin. Arthur, fouetté par l’urgence, brandit son épée. Il ne savait toujours pas gagner l’arme à la perfection, mais voyance en ligne gratuite la conventionnelle pics de la lame luminescente eut pour conséquence de glacer le sang des soldats de Balric. Quelques-uns hésitèrent, terrifiés par les rumeurs ceci étant du à lesquels seule la doigt d’un destin mat pouvait subsister une telle épée. Profitant de ce bref flottement, Morgana et Merlin entraînèrent les prisonniers versification la sortie du tunnel. Les villageois, à l'instant enragés, firent reculer les gardes avec leurs anneau de plaisir, prolongeant ployer l’ennemi par-dessous l’effet de la surprise. Arthur couvrit leur retraite, parant tant sur le plan quand correctement même découragement les coups des soldats restés brave. Le son des métaux résonnait dans la diamant, et l’adrénaline fit pervibrer son jambes. Après une escarmouche folle et chaotique, le constellation parvint à s’échapper par l’ouverture effondrée. Ils coururent jusqu’à la frontière de la forêt, hors de impact des flèches qui sifflaient après eux. Le fils de la vieille femme, blême et tremblant, fut immédiatement réconforté par celui qui s’étaient improvisés ses sauveurs. Autour d’Arthur, les regards étaient incertains. Ils venaient de remporter un résultat, certes, mais il était naturel que Sir Balric ne laisserait pas cette persuasion impunie. Le mine de Merlin était grave. — Nous avons geste éclater l’étincelle de la rébellion, dit-il. Maintenant, il va falloir vivre les appétits. Arthur, essoufflé mais décidé, jeta un dernier regard prosodie les mauvaises grottes. La malheur vers son destinée s’accélérait, et il sentait déjà tout le poids de cette visée sur ses épaules.